5 trucs à savoir quand on démarre avec l’IA générative

Le guide essentiel pour apprivoiser l’intelligence artificielle sans paniquer (ni perdre son temps)

À force d’en entendre parler, vous vous dites qu’il serait temps de vous y mettre.

Mais par où commencer ?

L’IA générative, c’est fascinant, un peu flippant, et surtout très vaste. Cet article vous donne les 5 trucs à savoir absolument pour démarrer du bon pied, sans être expert ni devoir lire une encyclopédie.

Spoiler : pas besoin d’avoir fait Maths Sup.


1 – L’IA ne comprend pas, elle prédit.

C’est le premier gros malentendu. L’IA générative, comme ChatGPT ou Le Chat ne comprend pas ce que vous lui demandez. Elle n’a ni conscience, ni volonté, ni intuition (ni café préféré ☕). Elle fonctionne comme un modèle statistique, entraîné sur des milliards de mots.

Son job ? Prédire la suite la plus probable à votre phrase.

Ce que ça change pour vous :

  • Vous devez apprendre à formuler vos demandes précisément (on y revient juste après).
  • Vous devez relire, reformuler, ajuster, comme si vous briefiez un stagiaire motivé mais maladroit.
  • Vous ne devez jamais prendre les réponses pour argent comptant sans vérification (même si ça a l’air très sûr de lui).

2 – Le prompt, c’est votre superpouvoir. 

Un prompt, c’est une instruction. Une consigne.

Une façon de dire à l’IA : « Voici ce que je veux que tu fasses, comme si tu étais [rôle] pour [objectif] ».

Exemple : «Tu es un coach en communication. Donne-moi une structure d’article LinkedIn sur les bienfaits de l’IA pour les RH, en 5 points clairs, ton accessible.» 

Plus votre prompt est clair, plus le résultat sera bon.

Et bonne nouvelle : ça s’améliore avec la pratique (et non, pas besoin de cape 🦸 ni de baguette magique 🪄). 

Astuce méthode : la formule CRAFT 

  • C = Contexte
  • R = Rôle
  • A = Action demandée
  • F = Format de réponse attendu
  • T = Ton ou style

Avec cette structure, vous passez d’une requête vague à un brief clair.

Et l’IA vous le rend bien (sans demander une augmentation😉).


3- L’IA n’est pas magique, elle est pratique.

 Ce n’est pas la peine de lui demander de régler des conflits complexes comme le changement climatique mondial. Par contre, elle peut vous aider à :

  • Résumer un document de 20 pages (sans soupirer)
  • Décliner un post LinkedIn en newsletter (en deux clics)
  • Structurer une présentation (adieu les brouillons avec une liste à puces)
  • Reformuler un mail sensible (celui que vous réécrivez 14 fois)
  • Imaginer des visuels à partir d’une description (même farfelue)
  • Traduire en 3 langues automatiquement (et sans accent douteux)

Bref : c’est un assistant super rapide, super souple, mais pas omniscient.

À retenir : Plus vous avez un usage professionnel récurrent, plus l’IA devient utile.

Et moins vous râlez devant votre to-do list 😉


4 – L’IA hallucine (et ce n’est pas une métaphore). 

Le terme technique est bien réel : une hallucination, c’est quand l’IA invente quelque chose avec aplomb. Exemple : une source qui n’existe pas, un chiffre faux mais précis, une citation de livre inventée.

Pourquoi ? Parce qu’elle prédit, elle ne vérifie pas (même si elle vous jure le contraire avec aplomb).

C’est pourquoi il est vital de :

  • Toujours relire, reformuler, contrôler (oui, encore).
  • Savoir que même une réponse convaincante peut être fausse.
  • Utiliser l’IA comme brouillon, pas comme vérité. Bref, elle rédige, vous validez.

5 – L’IA s’apprend en la pratiquant (pas en la théorisant). 

Comme le vélo. Comme Excel. Comme n’importe quel outil qui semble un peu mystérieux au début (coucou les tableaux croisés dynamiques).

Lire des articles, c’est bien. Mais vous ne comprendrez vraiment l’IA que quand vous aurez prompté, réessayé, échoué, recommencé. Et soupiré un peu aussi 😤

Ce qu’il vous faut :

  • Un cadre bienveillant (où on a le droit de rater)
  • Des cas d’usage concrets (du vrai, du quotidien)
  • Des pairs avec qui partager (et se marrer un peu)
  • Des mentors pour vous guider (et pas vous juger)

Passez de curieux à compétent en 1 journée L’IAckathon, c’est plus qu’un événement.

C’est une expérience d’acculturation active. En une journée, vous allez :

  • Comprendre comment l’IA fonctionne (vraiment)
  • Tester les meilleurs outils (sans tomber dans le piège du gadget inutile)
  • Répondre à vos propres cas d’usage
  • Repartir avec des prompts prêts à l’emploi
  • Créer des contacts utiles Et surtout… gagner confiance. (Et peut-être même y prendre goût)

Rejoignez l’IAckathon le 4 juillet 2025 à Nantes 240€ HT la journée / 180€ HT avec le code IACKABIRD (early bird jusqu’à 50 places)

Parce que l’IA, ce n’est pas un mot qui fait juste le buzz! C’est votre futur superpouvoir (et ça fait quand même plus classe que « tableur Excel »).